PRIMAFRANCE

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mardi 7 décembre 2010

ACTUALITE SYNCHRO DECEMBRE 2010


Le 03 décembre 2010, Olivier CELNIK,  Architecte de l’Agence Z Studio, Enseignant en Sciences humaines et sociales (SHS) à l’ENSA Paris Val de Seine et fondateur des Ateliers Numériques à l’Ordre des Architectes de L’Ile de France, a convié PRIMAFRANCE, représentée par Claire LAROSE (Business Unit Manager AEC) et Serge PEREZ (Business Developement Manager), afin de venir devant ses étudiants exposer le concept de la 4D supporté par l’outil SYNCHRO®.
Après 40 minutes d’exposé, ils se sont livrés ensuite à une séance de questions-réponses nourrie par la curiosité, l’humour et le professionnalisme naissant des étudiants en HMONP[1].


mardi 23 novembre 2010

ATTENTION

Une nouvelle session est organisée pour le début de l'année 2011.

Elle aura lieu le mardi 18 janvier 2011 en matinée. Inscrivez-vous d'ores et déjà auprès de STEPHANIE LAVAL au 01 56 83 87 30 ou par e-mail slaval@primafrance.com

Venez décourvrir une nouvelle dimension dans la planification de vos projets !

Consulter le programme sur les pages du site

La rédaction


mardi 19 octobre 2010

ATELIER DECOUVERTE - SYNCHRO SOFTWARE (suite)

Face au succès que remporte les Ateliers Découvertes sur la suite logicielle SYNCHRO, PRIMAFRANCE organise de nouvelles sessions

Pour la demi-journée du Lundi 29 novembre 2010

Pensez à vous inscrire rapidement car le nombre de place par session est limité. contactez Stéphanie au 01 56 83 87 30 ou envoyer un e-mail slaval@primafrance.com  

mercredi 13 octobre 2010

TESTER SYNCHRO

PRIMAFRANCE organise des demi-journées découverte de "SYNCHRO" outil de gestion de projet en 4D

PROGRAMME  

LA 4D : UNE NOUVELLE APPROCHE DANS LA CONSTRUCTION

L’IMPORTANCE DE LA COMMUNICATION DANS LE PROJET

Lors de la présentation d'un projet au futur propriétaire d’un ouvrage, il est essentiel de communiquer clairement sa vision la construction. Elle permettra d’asseoir une grande crédibilité vis-à-vis du client et lui donnera envie de faire affaire avec vous.
Comme les clients assument la part entière du risque dans l’édification d’une construction, ils cherchent à prendre la bonne décision dans le choix de l'équipe de construction avec laquelle ils contractent. La plupart des clients savent que les projets de construction réussissent ou échouent en grande partie en fonction de la façon dont une équipe travaille de concert, pour régler les problèmes, étudier les possibilités et gérer des solutions.
Aussi, voir le résultat de sa construction et se dire que toutes les solutions pertinentes ont été exposées  amène inévitablement le client à la certitude qu’il a fait le bon choix (où en tout cas le meilleur possible).

Plus votre vision est limpide, plus elle accélère le choix du client  car à l’inverse on ne peut pas prendre de décision optimale quand on ne voit pas clairement les choses. Avant de s’engager contractuellement, les clients demandent à bénéficier de projections de scénarii sur l’ouvrage à construire  afin de prendre conscience et aussi de réduire  les angles morts qui augmentent le risque dans la gestion de la  construction.

Si on souhaite mettre toutes les chances de son côté pour renforcer la confiance de ses clients et conquérir de nouveaux marchés, l’utilisation de la 4D est un des moyen les plus sûr pour atteindre son objectif.


LES APPORTS DE LA 4 D DANS LE CADRE D’UN PROJET DE CONSTRUCTION
Partager la même vision pour l’équipe projet

Même si la présentation est une opération marketing à fort contenu, elle doit être appuyée par une planification minutieuse et un ordonnancement précis. Le travail réalisé en collaboration avec l’équipe, doit aboutir à une présentation technique du projet et non uniquement commerciale. Il faut, avant tout, fournir une présentation qui rend  la délivrance de la prestation efficace, optimale et prête à l’emploi.

Le concept de la 4D qui repose sur une innovation permet d’y parvenir.

La 4D fait coïncider à la fois le planning et la visualisation 3D. Le planning qui constitue l’expression du délai, des coûts et des ressources va être lu et compris par tous grâce à la représentation visuelle de l’ouvrage.   La capacité à simuler différentes hypothèses et gérer le chemin critique en le faisant partager graphiquement à chacun des membres de l’équipe de construction va permettre de présenter le projet  selon un angle pertinent.

Impliquer une équipe projet dans sa composante la plus large est toujours nécessaire, mais peut devenir un véritable défi. Associer davantage de gens peut être contre-productif et engendrer des complications au lieu de travailler avec une équipe restreinte pour obtenir une convergence et  résoudre les problèmes plus rapidement.

Avec un planning 4D, toutes les parties-prenantes sur le projet de construction à savoir : les clients, les ingénieurs, les architectes, les constructeurs, les sous-traitants, les fabricants et les fournisseurs de matériaux  peuvent partager une vision unique de l'ensemble du projet.


Chaque participant dans l’équipe doit pouvoir contrôler, le projet au moyen du planning, la logistique du site et anticiper afin de minimiser le risque d’incertitude.

Le suivi des projets doit se faire de façon structurée et cohérente et afin que chacun puisse en mesurer les progrès réel.
Lorsqu’on utilise la 4D, les membres du projet, l'expérience de l’équipe et la synergie  qui en résulte se retrouvent à  travers une communication claire et une analyse approfondie du livrable.
Mettre en place une méthodologie 4D pour l’équipe projet

L'incertitude d’un projet est souvent liée au design architectural novateur, aux conditions géologiques du site et aux événements imprévus ainsi qu’aux changements d’orientation stratégique: tous ces facteurs peuvent perturber le rythme de travail, ajouter du temps et du coût, créer davantage de risques et mettre en péril la qualité.
Les parties prenantes, dont on exige souvent qu’elles identifient les options les plus prometteuses pour résoudre les problèmes de construction, se doivent de choisir les idées les meilleures à mettre en œuvre, le plus rapidement possible afin de pouvoir communiquer efficacement ces approches au client.
Comme aucun autre processus aujourd'hui à la disposition de l'industrie et du BTP, la méthodologie 4D permet aux acteurs de la construction de définir clairement les modes de prestation, d'explorer les options et de gérer les solutions.

La planification 4D apporte la visualisation de la pré-construction du projet, pour permettre de réaliser un modèle et savoir comment aborder les projets cibles. Cette approche réduit les incertitudes et apporte plus de visibilité.
La planification  4D permet de créer et / ou de consolider les données du projet. Provenant du logiciel de planification et gérant le chemin critique ainsi que les coûts directement liés au système de cost control (ajout de la dimension  5D), elle permet à l'ensemble de l'équipe de partager une vision virtuelle d'un projet en temps réel affiché avec clarté.

Dans la perspective d’une amélioration du projet, la 4D offre des réponses pertinentes à des questions habituellement complexes, par leur manque de visualisation.

Sans un soutien efficace de la technologie,  l'amélioration continue dans les processus industrielle devient illusoire. La 4D apporte, en tant que solution technologique, un début de résolution de problèmes, à faible coût, permettant de satisfaire le domaine de l’itération.  

Revenir sur un projet, faire plusieurs simulations, envisager de nombreuses solutions, visualiser à chaque fois le résultat constitue un des moyens pour améliorer la méthode. Or si chaque hypothèse doit être réalisée sans support visuel, son résultat devient plus difficile à percevoir.

La 4D offre la possibilité de confronté une théorie et de la soumettre à un test assez rapidement. Comme la réponse est visuelle, on saura si cette approche était ou non pertinente.
Répondre aux exigences de sécurité et aux contraintes dans les projets

Tous les participants de l’équipe sont en mesure de prévoir la mise en place de processus pour gérer la ressource humaine dans l’entreprise, protéger la santé et la sécurité des travailleurs, ainsi que l'environnement.

En effet, l’exécution des projets de construction exige un niveau élevé de sécurité et  de nombreuses  informations pour gérer le risque.
La 4D, par cet aspect visuel, démontre comment il est possible de prendre en compte le paramètre de sécurité dans le projet.

Elle permet aux équipes de construction (bureau d’ingénierie et d’étude et cabinet d’architecture) de trouver rapidement des solutions de contournement.
La 4D maintient un lien logique entre les éléments du projet et  ce qui permet de comprendre rapidement l’impact des changements sur le projet.

La visualisation 4D aide à éliminer les chevauchements entre les zones de travail et évite certaines nuisances sur le site.

Gérer l’approvisionnement
L'industrie de la construction est imprévisible, surtout, vis à vis des délais de livraison, du coût et de la qualité.

L’intégration de la chaîne d'approvisionnement est difficile à réaliser.

Toutefois, son absence est à l'origine de retards dans les projets provoquant des dysfonctionnements sur le site.

L’intégration de la chaîne d'approvisionnement exige un soutien d’une part des deux côtés de la relation contractuelle et d’autre part de la planification  des activités, car elle permet de suivre les progrès accomplis ainsi que d'identifier et d'isoler les risques au niveau des marchandises à fournir pour faire fonctionner le chantier.

La 4D apporte son aide à l'intégration logique de tous les sous-traitants et fournisseurs majeurs sur le projet.  Elle crée des programmes de collaboration dans un environnement totalement intégré et permet de surveiller les activités de travail pour analyser efficacement les progrès accomplis.

La 4D permet de mieux gérer les activités essentielles de la construction afin d'assurer dès le départ, la livraison de projets à temps et lors du suivi du déroulement de tout le projet de construction.

 Conclusion

Les clients partagent avec les constructeurs  un certain nombre de problématiques qui peuvent être résumés ainsi :



ü  Comment peut-on concilier un Design innovant et des conditions de terrain difficile avec la planification de la construction sachant qu’il faut y intégrer la dimension du coût et livrer à temps ?

ü  Comment va-t-on ventiler et coordonner l'espace de travail pour optimiser la réalisation du projet?


ü   Comment peut-on garantir une plus grande sécurité sur le projet?

ü   Comment gère-t-on les différents points et comment les arbitrer ?

ü   Comment synchronise-t-on  efficacement les tâches des équipes chantier?

ü   Est-ce que la stratégie d'analyse et de gestion des risques est suffisamment efficace pour mettre en relief les points importants et gérer au mieux les problématiques inévitables?

ü  Peut-on, suivre et enregistrer les progrès ou bien mesurer la valeur acquise avec précision?

La 4 D permet :

v  De synchroniser la planification et le workflow

v  De partager une vision dynamique de l'ensemble du projet

v  De tenir en continu et de façon itérative des activités de conception

v  De coordonner la planification des itérations multiples

v  De manager une équipe dont la géolocalisation est multiple

v  D’intégrer la chaîne d'approvisionnement à un niveau détaillé
v 
De permettre la participation d’une équipe dynamique

v  De réduire les reprises (actions correctives de travail) du projet

v  De promouvoir l'efficacité des études de constructibilité, de pré-construction et de revue de conception complète

v  De promouvoir une meilleure estimation du projet et de l'analyse des coûts

v  D’améliorer le suivi du projet en comparant les différentes projections de  performance par rapport au projet réel

v  De synchroniser les plannings du projet

v  De communiquer de façon claire et concise
v  D’offrir un support efficace pour partager une vision sur le projet et pour aider à clarifier et à résoudre des solutions concurrentes

v  D’examiner et d’analyser plusieurs scénarii de simulation graphique simultanément

v  De comparez les options afin de retenir  les meilleures solutions émergentes




lundi 11 octobre 2010

REVOLUTION OU EVOLUTION NATURELLE DE L'ARCHITECTURE ET DE L'INGENIERIE

Sans vouloir nécessairement les opposer, les deux corps de métiers que son l’architecture et l’ingénierie, ont suivi de nombreuses évolutions dans le temps tout en se réservant un développement autonome l’un par rapport à l’autre.

L’ingénierie (qui désigne l’activité scientifique et rigoureuse de conceptualisation et de réalisation des ouvrages d’art fonctionnels)  est à l’empirisme ce que l’architecture (qui désigne plutôt l'art de concevoir des espaces couverts et de construire des édifices) est à l’esthétique.

Avec le temps, les techniques modernes ont introduit de façon nécessaire et inévitable des contraintes fortes en matière architecturale mais cependant une constante a toujours été de mise : « l’architecture se caractérise par une intentionnalité établie dans le « projet » lequel se définit en des plans, des représentations symboliques diverses qui lui font intégrer temps de construction et d’usage… Aussi, cet effort conscient et préalable propre à la conception architecturale a-t-il pour objectif de concilier l’utilité, la beauté et la solidité de formes, d’espaces et de structures (habitées ou non). [1] »

Une Révolution en marche ?

L’Ecole des Mines d’Alès a souhaité innover en créant une formation diplomante intégrant une bi-compétence en partenariat avec L’Université de Liège[2].
Les Etudiants, élèves ingénieurs, suivront un cursus d’une durée 4 ans en ingénierie complété par 3 années en Belgique pour y recevoir un enseignement en architecture.
On pourrait s’étonner de voir l’ingénierie se rapprocher de l’architecture, mais il est plus intéressant de se poser la question du pourquoi.

Les ingénieurs doivent pouvoir être en mesure de comprendre l’architecture dans ces multiples facettes (Esthétique et Conceptuelle – maîtrise des espaces, et des flux de circulation).

Au lieu d’appréhender seulement les contraintes techniques, ils doivent être en mesure de s’approprier ces deux autres dimensions. Comprendre  l’œuvre d’un architecte, c’est poser le principe du respect de son art et l’ingénieur sera alors en mesure de proposer des solutions de contournement techniques  plus aisément pour concilier art et ingénierie. L’ingénieur-architecte devient le médiateur entre ces deux métiers.   

 Evolution en trois étapes

Les règles de construction des ouvrages du bâtiment ont conduit à faire travailler les bureaux d’étude et les architectes ensembles. Mais la réconciliation des informations, incombant à chacun des corps de métiers, traduit la nécessité d’une interpénétration des compétences.

Enrichissement des équipes architecturales

Cette première approche, comprise assez rapidement par les cabinets d’architecture, a conduit à l’insertion dans les équipes d’architectes, d’ingénieurs. Aujourd’hui le regain de présence des ingénieurs au sein des cabinets est aussi mis en avant par la nécessité de  respecter les normes environnementales qui constituent l’un des fers de lances des constructions de demain ; à la création s’ajoute une nouvelle contrainte.

L’émergence d’une nouvelle approche de l’architecture s’est faite jours puisqu’il a fallu considérer tour à tour la conception de l’ouvrage non pas seulement dans une dimension esthétique, utile, encadré techniquement mais aussi incluant des données nouvelles en matière de coût, de qualité et de délais.

L’appréhension du temps dans sa composante plurielle a fortement impactée le Design Architectural de telle sorte que ne pas faire travailler ensemble bureau d’étude et Architecte devient stupide. Mais la conciliation du planning avec le Design, aussi facile qu’on puisse l’imaginer  reste difficile à mettre en œuvre.

Le progrès technologique

La visualisation en 2D a longtemps obligé les ingénieurs à mettre au point des techniques de repérage sur les plans pour y associer le planning.
Au delà des erreurs de lecture des plans, d’interprétation, de repérage et autres difficultés liées à la représentation, la frustration liée à  l’incapacité de faire partager la vision du temps et de l’espace à tous les intervenants d’un projet, a renforcé le cloisonnement des professions.

L’amélioration des  systèmes d’information générant de la 3D a apporté son lot d’éclaircissement mais sans totalement résoudre la question car sans le réduire à sa plus simple expression, nous sommes passés du pointage papier au pointage sur écran avec des stylos graphiques. Pour autant la réconciliation a continué à être complexe.

La 4D

En associant la visualisation et le planning par le concept de l’image animée en temps réel, la 4D a permis de concrétiser le partage commun de la compréhension d’un planning au fur et à mesure que le séquençage des activités planifiées était matérialisé visuellement par des « briques » de construction qui s’ajoutait pour former l’ouvrage.

La 4D a permis de concevoir la dimension du temps dans un projet de construction, d’en partager une vision commune, d’en concevoir les limites mais aussi d’en optimiser les processus, car la visualisation oblige toutes les parties prenantes dans un projet de construction à prendre en compte ce qui s’impose à la vue de tous, sans concession et sans appréhension.

Dès lors qui est capable de manipuler le logiciel 4D à la croisée du travail d’un ingénieur planificateur et d’un  architecte-designer ?
Cette réflexion qui alimente les propos de nombreux auteurs augure de l’approche qu’on doit avoir du logiciel 4D. Outil de visualisation pour les uns, outil de modélisation du temps pour les autres, sa place dans le processus de chaque métier, pour autant qu’elle ait son importance, n’a pas la même place.
Un architecte suivra son talent et ses connaissances pour créer un édifice ; la visualisation du temps réel n’aura pour objectif que de lui permettre une meilleure communication du temps à passer pour la réalisation de l’ouvrage. Cette contrainte du temps n’intervient qu’en termes commercial.
L’ingénieur planificateur, chargé de piloter la performance de la construction afin de livrer dans le délai prévu en surveillant le budget alloué et la fourniture des ressources considèrera que la visualisation 3D attachée à son planning offrira une meilleure compréhension de ses interlocuteurs profanes qui prendront la mesure d’un retard ou d’un avancement du projet.

L’investissement en capital humain

 « Mieux vaut une tête bien faite qu’une tête bien pleine[3] ».

Cette maxime de bon sens nous ramène à la réflexion contemporaine de nos pédagogues.

L’inclination d’un ingénieur à concevoir que l’architecture n’est que la dimension du réel appréhendé par l’artiste dans un cadre restreint par la technique lui permet, s’il a reçu l’instruction des deux corps de métiers, de s’en tenir à la frontière de ses deux mondes en puisant dans chacun  le meilleur de ce qu’il est possible.

Former nos élites à cette conception est le fruit d’un certain retour sur soi et sur ses expériences  vis à vis de la notion d’Edification.
En effet, il n’y a pas encore si longtemps[4], un architecte concevait mais aussi réalisait. Il était maître du chantier au sens premier du terme. Capable de corriger les plans, il édifiait, construisait et  façonnait de ses mains.

Alors un architecte-ingénieur, ou un ingénieur-architecte,  est le  gage d’une nouvelle profession avec tout l’avenir devant soi.

La contrainte d’organisation :

Face à cette situation, une vigilance reste de mise car avoir l’outil et former son personnel ne suffit pas. Encore faut-il que l’entreprise dispose d’un cadre d’exercice adéquat pour faire en sorte que cet ingénieur-architecte trouve sa place dans l’organisation.

La mise en place des processus nécessaires au bon fonctionnement de l’entreprise restera la prochaine étape afin de parfaire l’édifice en construction. 


[1] Nelson in  Qu’est-ce qu’une œuvre architecturale, Vrin, coll. « Chemins philosophiques », Paris, 126 p. (ISBN 978-2-7116-1950-4), partie La notation architecturale
[2] Le moniteur 21/09/2010
[3] Michel EYQUEM de MONTAIGNE in LES ESSAIS
[4] Deux siècles auparavant


lundi 30 août 2010

FICHE TECHNIQUE SYNCHRO EPISODE 3

SYNCHRO LTD FRANCE - PRIMAFRANCE SYSTEMS

Afin de rendre plus parlant cette démonstration, voici une petite animation sur le fonctionnement du planning dans une version calendrier par rapport à la création du bac de bitume.


vendredi 27 août 2010

FICHE TECHNIQUE SYNCHRO EPISODE 2

SYNCHRO LTD FRANCE - PRIMAFRANCE SYSTEMS




Pour illustrer rapidement la fiche technique (EPISODE 1) , un exemple concernant l’installation d’un bac de bitume a été créé.
La vue 3D représente uniquement la partie « chaudronnerie » et « équipements » du bac.






Le planning (à la journée) séquence en liaisons fin/début la chaudronnerie du bac (fond, viroles, couronne et couverture) puis l’équipement (escalier, passerelle et garde-corps)





Afin de rendre plus visible cet exemple, nous mettrons en ligne la semaine prochaine une animation synchro.

jeudi 26 août 2010

FICHE TECHNIQUE SYNCHRO EPISODE 1

SYNCHRO LTD FRANCE - PRIMAFRANCE SYSTEMS
Prérequis sur le matériel informatique :
Disposer d’un poste de travail dimensionné pour le graphisme :
- Processeur 2,33 GHz Dual Core
- 4 Gb de RAM
- Carte graphique 512 Mb minimum Open GL
- Ecran haute résolution et de préférence de grande dimension

Intégration d’éléments 3D :
Fichiers au format DWF, DWG ou DXF (Autocad) référencés dans un repère commun de coordonnées géographiques
Intégration planning :
Importation d’un planning élaboré dans un outil de gestion de projet (PM) ou création directe dans Synchro

Finalité :
Synchro permet de suivre l’évolution d’un projet de construction en ajoutant la dimension « temps » aux dimensions X et Y du plan et Z de l’élévation.
Cela permet d’interfacer n’importe quelle vue 3D avec son planning de réalisation afin de contrôler la faisabilité des travaux et leur bon ordonnancement.

Modélisation en 3D :
Synchro sert de liaison entre la représentation modélisée en 3D d’un projet de construction et son planning de réalisation. Cependant, cet outil ne permet pas d’effectuer directement la modélisation 3D et requiert l’usage d’un logiciel spécialisé dans ce domaine.

L’aspect 3D est donc entièrement créé et révisé hors de Synchro avant d’être importé dans Synchro.
Le module graphique de Synchro permet de visualiser les objets 3D avec les fonctions basiques telles que le zoom, la rotation et la coupe selon les trois axes x,y,z.
Les éléments 3D importés sont assimilés à des ressources et peuvent être affectés en tant que tel sur les activités du planning de façon individuelle ou groupée.
Planning détaillé :
L’aspect planning peut être traité de façon externe ou interne à Synchro :

- A l’image de la conception de la partie 3D, le planning peut être développé dans une autre application (Primavera Management, MS Project ...) puis importé dans Synchro en vue de l’interfacer avec les éléments 3D.

- Synchro disposant d’un module de planification, il est possible de l’utiliser pour créer un planning des travaux en utilisant toutes les caractéristiques habituelles : calendriers, durées, liaisons entre les tâches, affectation de contraintes, affectation de ressource et suivi des coûts, etc…

- Synchro donne également la possibilité de créer des activités à partir des éléments 3D précédemment importés.
La liaison des éléments 3D se fait sur les activités du planning au travers de ressources en précisant si l’élément 3D doit « apparaître » ou « disparaître » au moment où l’activité où il est affecté entre en action.

Paramétrage des éléments 3D avant importation :
Dans l’application spécialisée 3D, il est important de concevoir les éléments 3D de sorte que leur utilisation ultérieure dans Synchro permettra de bien les représenter par étape d’assemblage ou de construction.
Par exemple, dans le cas d’un bac de stockage de gazole dans une raffinerie, il est important de pouvoir disposer d’un fichier 3D (ou plusieurs) où les éléments suivants sont séparés et facilement repérables par l’opérateur Synchro :
- Fond de bac
- Viroles (un bloc 3D par virole à installer)
- Attentes ou réservations pour raccordements au réseau
- Couverture du bac
- Escalier, plateforme et garde-corps (un bloc 3D par élément préfabriqué livré sur site)
Il est également important, si possible, de nommer de façon claire les différents composants 3D avant leur importation dans Synchro dans le souci de faciliter la tâche de l’opérateur Synchro lors de la création du planning et l’affectation des éléments 3D aux activités représentant le montage.

Paramétrage du planning :
Le niveau de détail du planning a une importance non négligeable car tout élément 3D associé à une activité l’est pour sa durée complète.
Il faut donc prévoir de bien détailler les activités en fonction des opérations à visualiser par la suite.
Par exemple, si tous les éléments 3D du bac listés ci-dessus étaient affectés à une seule activité du planning, il ne serait pas possible de bien apprécier la construction du bac car tous ses éléments apparaîtraient au même instant.
Lors de la visualisation des étapes de la construction, le niveau de détail à l’affichage dépend de plusieurs paramètres :
- Niveau de détail des éléments 3D
- Niveau de détail du planning
- Période de temporisation de la vidéo (jours, semaines, mois, etc…)
Pour obtenir la prévisualisation la plus fluide possible, il est important d’affecter un élément 3D à une activité (et une seule) et de régler la période de temporisation de la vidéo en fonction de la durée des activités.

Niveau de détail de l’ensemble :
Le choix du niveau de détail, tant sur l’aspect 3D que sur les activités du planning, dépendra de la phase où l’on se trouve.
En phase d’esquisse ou d’études d’avant-projet, le planning doit se limiter aux grandes étapes d’assemblage et le niveau de détail sur la 3D n’a pas à être trop approfondi.

En phase d’études de projet ou d’exécution, les métrés et les quantitatifs sont déterminés. Le planning doit rentrer dans le détail des opérations à réaliser et le niveau de détail en 3D doit intégrer un maximum de détail.
La fréquence de temporisation de la vidéo dépend de la durée globale du chantier et de la durée moyenne des activités que l’on veut observer.

mardi 24 août 2010

BIENTOT UNE FICHE TECHNIQUE SYNCHRO

SYNCHRO LTD FRANCE - PRIMAFRANCE SYSTEMS
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Dans quelques jours nous mettrons en ligne une FICHE TECHNIQUE sur SYNCHRO qui offre
  • une définition de l'environnement du logiciel pour une utilisation performante et qui propose
  • un descriptif de son fonctionnement à travers sa philosophie et ses fonctionnalités.



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    *H2VA = méthodologie de support sur la gestion de projet crée et développé par PRIMAFRANCE